Alors que l’entreprise est confrontée à de grandes difficultés et qu’un accord de compétitivité a récemment imposé aux salariés de nombreuses concessions afin que soient réalisées 125 millions d’euros d’économie chaque année, comment ne pas être scandalisé par le montant de 21 millions d’euros qui devrait être versé in fine au PDG de Peugeot Citroën au titre de retraite complémentaire ?
Dans un contexte de crise économique aigue et au moment même où les salaires sont gelés dans de nombreuses entreprises, le Mouvement Progressiste (MUP) partage l’indignation provoquée par cette nouvelle et demande que des dispositions soient prises en urgence afin de contenir ce genre de mesures inacceptables.
Paris, le 27 novembre 2013.