Cher Nicolas Demorand, Directeur du journal Libération,
Ce message paraîtra peut-être d’une grande banalité mais permettez-moi de vous dire ma solidarité la plus totale face à l’agression dont votre journal a été victime.
A travers vous, ma pensée va au jeune photographe physiquement blessé, mais au-dela, aux journalistes de Libération et à la presse.
L’Histoire nous a montré, malheureusement, que ceux qui veulent fragiliser la démocratie s’en prennent souvent d’abord à la presse.
Au-delà de leurs sensibilités, les démocrates, les républicains doivent, sans réserve, s’unir et dire non ! quand on veut porter atteinte à l’expression de la liberté.
Avec mes sincères amitiés.
Robert HUE, Président du Mouvement Progessiste (MUP)