A l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, Sébastien NADOT, député de Haute-Garonne, porte-parole national du Mouvement des Progressiste (MdP), a interpellé le premier ministre sur l’engagement et les moyens mis en œuvre par le gouvernement pour associer les plus exclu-e-s dans le développement, la mise en œuvre et l’évaluation de la stratégie de lutte contre la pauvreté.
Lors de cette journée, le 17 octobre 2018, des citoyens et des citoyennes se rassembleront partout et sur l’ensemble du territoire, à l’appel de nombreuses associations, pour rappeler que la grande pauvreté est une violation des droits humains et qu’il est possible de l’éradiquer.
En 2018, dans notre pays, 2,3 millions de personnes survivent péniblement avec moins de 680 euros par mois. Que cela se passe dans la sixième puissance mondiale est inacceptable pour les progressistes !
Pionnière en matière de lutte contre la pauvreté, la France s’est déjà dotée en 1998 d’une loi d’orientation qui fixe l’ambition et la priorité de la lutte contre les exclusions dans les politiques publiques. Une loi qui met en évidence l’importance primordiale de penser et agir avec les personnes en situation de pauvreté et non pas à leur place.
Une participation qui est essentielle si l’on souhaite lutter efficacement contre la grande pauvreté et permettre à chacun, notamment aux plus vulnérables, d’avoir toute sa place dans notre société. Et qui est possible mais demande d’en rassembler les conditions et les moyens.
Dans la suite du plan pauvreté, les progressistes du MdP seront vigilants aux mesures prises pour inscrire au mieux les personnes en situation de pauvreté dans le développement et la mise en œuvre de la stratégie de lutte contre la pauvreté.
