Les craintes que nous exprimions quant à la dispersion des forces de progrès à Marseille sont aujourd’hui avérées.
Pour l’essentiel, cette situation trouve sa source, d’une part dans la stratégie anti-unitaire développée par le Front de gauche et, d’autre part, dans les logiques d’appareils affaiblissant la dynamique citoyenne des primaires socialistes.
Plus que jamais Marseille a besoin d’écrire une nouvelle page de son histoire en construisant une ville réconciliée avec elle-même, porteuse d’objectifs de progrès sociaux et écologiques, démocratiques et humains, dans une démarche citoyenne.
Soucieux de contribuer à la dynamique des forces progressistes face aux conservatismes et la haine de l’autre, comme nous l’avons fait au moment de la primaire socialiste, nous allons rencontrer Patrick Mennucci et Pape Diouf.