L’union Européenne et les États-Unis souhaitent un accord transatlantique (TAFTA) pour, disent-ils, « fluidifier les échanges ».
Derrière ce projet se cache en réalité un accord ultra-libéral de libre-échange et de dérégulation dans tous les domaines.
La négociation se déroule à huis clos et nombreux sont ceux qui s’interrogent sur une logique qui profite d’abord aux intérêts économiques et financiers des multinationales et des puissances financières.
Certes, le gouvernement français a demandé à la Commission européenne de la transparence lors des négociations mais nous ne disposons que de peu d’informations sur ce sujet.
Dans ces conditions, j’appelle le gouvernement français à exiger des négociations publiques et à œuvrer pour une mondialisation économique qui respecte les droits humains, l’écologie et qui favorise le bien être social des peuples.