Le 15 décembre 1941, Gabriel Péri était fusillé
Né à Toulon, il fait ses études à Marseille puis adhère aux Jeunesses socialistes puis à la Jeunesse communiste jusqu’en 1926. Inquiété pour son militantisme antimilitariste, il est arrêté à plusieurs reprises.
Il est surtout un grand journaliste à L’Humanité.
Déchu de son mandat de député par Pétain, il est arrêté en tant que Résistant par la police française le 18 mai 1941 et incarcéré à la prison de la Santé à Paris. Il est exécuté comme otage sous les murs du Mont Valérien le 15 décembre 1941.
Souvenons-nous de cet homme d’exception qui avait su dire « non » à la collaboration, « non » à Pétain et non à la barbarie.